La fidélité ? Un boulot à temps plein

samedi 8 mai 2010 18:45 Publié par Anne
Et si la fidélité se résumait à un gène bien encodé ?
Toujours à l’affut de l’explication génétique, les chercheurs américains auraient depuis quelques temps déjà isolé le fauteur de troubles.
On imagine déjà les pêcheurs mâles se pointer en audience de divorce, leur bilan génétique sous le bras : « C’est pas ma faute, chérie, je suis né avec … ».
Sans doute que bien des séparations seraient moins juteuses pour les compagnes bafouées – en Californie, elles partent avec la moitié du patrimoine.
Toutefois, nos dévoués chercheurs multiplient les études d’envergure pour y comprendre quelque chose à cette foutue infidélité  - et son corollaire, cette merveilleuse fidélité.
Un exemple ?
Imaginez la scène.
Allongé sur un tatami, ficelé avec votre mari vous devez pousser un rouleau de mousse au-delà d’une certaine limite en un temps imparti.
Kho Lanta ?
Non. Une expérience qui tendrait à démontrer que la longévité heureuse d'un couple serait fortement lié au sentiment d’accomplissement personnel qui l'accompagne.
J’explique : plus vous avez l’impression que votre conjoint favorise votre épanouissement, plus vous lui êtes fidèle. En résumé, mieux vaut donner une chance à votre couple de vivre des moments enrichissants si vous souhaitez le voir durer un peu.
Une évidence ?
Peut-être. Mais ça va mieux en le disant.

Pour en savoir plus, c’est ici.

0 Response to "La fidélité ? Un boulot à temps plein"

Enregistrer un commentaire