Ce soir, c'est l'inauguration du Salon du livre de Paris.
L'occasion de revoir les copains, les copines, de jouer les accrocs à l'actualité éditoriale - Oh mais mon Dieu, tu sais quoi ? BHL a mais a-do-ré le projet de Marc Levy ! - alors qu'on est là pour les trois "p" : papoter, picorer et picoler.*
On va encore me demander si Naples c'est la folie. Je vais encore répondre que Naples, c'est fini. Y a des choses comme ça, on a beau les répéter, elles n'entrent jamais dans la tête des gens.
Peu importe.
Ce qui compte c'est... COCKTAIL !
Le petit stand et ses assiettes de bretzels, le gros stand tapas et sashimis. Cidre ou champagne. Vin de pays ? En cubis !
A 20h00, bousculade autour du Ministre.
A 21h00, file d'attente géante aux WC dames.
A 21h30, viande soûle à tous les rayons.
A 22h30, tout le monde dehors.
Le plus sympa ? Le subtil parfum de fumier qui accueille le visiteur, à 19h00. Il faut dire qu'un peu plus tôt, dans le même hall, le Salon de l'Agriculture levait le camp. Du coup, on hésite entre les salomés et les bottes en caoutchouc. Cuissardes ?
Bref, j'ai hâte...
*Bon, et aussi pour travailler avec l'écrivain qui met en mots le récit de ces dangereuses journées napolitaines. Promis, j'en reparle bientôt.
L'occasion de revoir les copains, les copines, de jouer les accrocs à l'actualité éditoriale - Oh mais mon Dieu, tu sais quoi ? BHL a mais a-do-ré le projet de Marc Levy ! - alors qu'on est là pour les trois "p" : papoter, picorer et picoler.*
On va encore me demander si Naples c'est la folie. Je vais encore répondre que Naples, c'est fini. Y a des choses comme ça, on a beau les répéter, elles n'entrent jamais dans la tête des gens.
Peu importe.
Ce qui compte c'est... COCKTAIL !
Le petit stand et ses assiettes de bretzels, le gros stand tapas et sashimis. Cidre ou champagne. Vin de pays ? En cubis !
A 20h00, bousculade autour du Ministre.
A 21h00, file d'attente géante aux WC dames.
A 21h30, viande soûle à tous les rayons.
A 22h30, tout le monde dehors.
Le plus sympa ? Le subtil parfum de fumier qui accueille le visiteur, à 19h00. Il faut dire qu'un peu plus tôt, dans le même hall, le Salon de l'Agriculture levait le camp. Du coup, on hésite entre les salomés et les bottes en caoutchouc. Cuissardes ?
Bref, j'ai hâte...
*Bon, et aussi pour travailler avec l'écrivain qui met en mots le récit de ces dangereuses journées napolitaines. Promis, j'en reparle bientôt.
1 juin 2010 à 12:33
Verdict? Qui des petits-four/cubi ou des neurones l'ont emporté ce soir là? ;)